segunda-feira, setembro 22, 2008

OBSERVATÓRIO: atitudes desenconselhaveis aos autocaravanistas conscientes....

Concentrações de mais de 10 autocaravanas no mesmo local....
(é de evitar)
comportamentos desaconselháveis aos autocaravanistas: Vejam-se as cautelas aqui defendidas:

Exception faite des campings, les camping-caristes de passage ne trouvent pas d'aire de services à Quimper. Témoignage.


Bruno Charpentier pratique le camping-car depuis de nombreuses années. En famille, avec sa femme Joëlle et leurs quatre enfants. Ils ont ainsi parcouru l'Espagne et le Danemark au gré des mutations professionnelles. La France constitue naturellement un beau terrain de découverte. Aujourd'hui, les enfants ont grandi et les sorties en famille se font plus rares. Bruno et Joëlle partent pour le week-end. Même à la journée. Été comme hiver quand il faut accompagner un fils qui fait des compétitions de planche à voile.
Charte du savoir-vivre
Bruno Charpentier ne se contente pas de pratiquer. Il regarde autour de lui et réfléchit à la pratique de son loisir.

En général, on alterne :

un jour camping sauvage, un jour camping.

On évite les fortes concentrations.

Il est normal de limiter le stationnement à certains endroits. » Quimpérois, il ne peut que constater que la ville manque de lieux d'accueil. « En dehors des deux campings (le camping municipal et le camping de Lanniron), il n'y a pas de structures. C'est dommage. » Des communes de plus en plus nombreuses proposent des aires de service où le camping-cariste peut faire le plein d'eau potable et vidanger les eaux usées. Un plus indéniable souvent couplé à un petit parking spécifique.
Dans son blog, Bruno fait le point sur la situation. Décrivant les lieux où une halte est possible (Locmaria, Créac'h Gwen). Les endroits où la largeur d'accès pose problème (Penvillers, Providence). « Une aire de service n'est pas très difficile à installer. De petites communes de Cornouaille ont fait ce choix. L'idéal est de l'installer à proximité d'une ligne de bus pour permettre un transport facile si on veut laisser le camping-car sur l'aire d'accueil. »
Une association (Association camping-car liberté) travaille en coopération avec les communes. « L'ACCL met en place une charte du savoir-vivre et passe parfois des contrats avec les villes. » Une démarche qui semble judicieuse.

Des dizaines d'aires d'accueil arrosent un département apprécié des camping-caristes. Un plus pour l'économie même si pour certains, cela fait grincer des dents.
Des véhicules scotchés le long du littoral, en plein champ visuel de vos photos. De gros engins roulants bien identifiés mais lents et difficiles à dépasser.

Des vacanciers bénéficiant du paysage sans contribuer aux taxes des communes... Les arguments des anti-camping-caristes sont connus. Le département des Côtes-d'Armor préfère regarder comme un atout ces tranquilles promeneurs portant maison sur leur dos à la mode escargot. Une centaine d'aires est recensée dans le département pour les accueillir, 48 privées et 58 publiques.

« La Bretagne est la région où il y a le plus de fréquentation de camping-cars, assure Jean-Paul Lagadec, président des camping-caristes de Plédran-Saint-Carreuc. C'est un véritable atout pour l'économie. Le département l'a compris, pour la fréquentation du centre-Bretagne aussi. Et nous sommes assez bien situés pour l'accueil parmi les départements français. »
Cet ancien du Trésor public a créé, voilà cinq ans, un club aujourd'hui fort de 80 équipages issus de trente communes du département. Le reflet d'un véritable phénomène de société. Avec des statistiques de ventes de véhicules neufs en progression chaque année de 10 % à 15 %. Seule la récente augmentation du pétrole vient ralentir l'appétit pour ce mode de vie. « On va être amené à faire des circuits plus courts, concède Louis-Paul Lagadec. Et on essaye de ne pas trop forcer sur les vitesses. »

Le stationnement est un sujet sensible sur la côte. L'exemple de la commune de Saint-Cast ayant décidé d'interdire le stationnement de camping-cars en 2004 reste dans les mémoires des camping-caristes. L'arrêté municipal avait alors été jugé illégal par le tribunal administratif. « Nous avons le droit de stationner normalement, rappelle Louis-Paul Lagadec. On peut s'arrêter, de nuit, comme une voiture. Une circulaire a été remise à jour.

On demande tout de même aux gens d'éviter de se regrouper entre eux ». Et la pollution visuelle parfois pointée du doigt ? « Il faut quand même se dire que les voitures ne sont pas plus intéressantes que ça à voir. Et les constructions en bord de mer sont encore plus polluantes que nos véhicules. Nous, on passe et on s'en va. Il faut là-dessus garder raison. »
Jean-Paul Lagadec va même plus loin. « Nombre de sites que nous fréquentons sont payants. Pour cela, nous aidons par notre participation à leur entretien. Nous allons aussi dans les restaurants, faisons des visites. C'est bien pour l'économie. Quant à ceux qui estiment que cela coûte pour les communes, j'ai l'exemple d'un maire du Limousin qui déclarait avoir une facture d'eau de 450 € annuelle pour une aire de camping de 25 places. Il nous a dit « quand je connais les recettes laissées au commerce, y'a pas photo ! » »
« Ce serait idiot de négliger ce phénomène ! », aime à dire Yves Le Sidaner, président du comité départemental du tourisme. Le conseil général l'a bien compris et n'hésite pas à subventionner la création d'aires. Depuis trois ans, 500 000 € ont été investis dans douze aires créées par des collectivités et une aire par un privé. L'aide du conseil général s'est élevée pour elles à 73 600 €.
Sébastien GROSMAITRE.
Ouest-France

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